ARTICLE ANGLAIS

Bonjour,

j'ai trouvé par hasard un article sur un site ANGLAIS , et je me suis empressé de faire marcher la traduction.

On y parle d'un certain Thomas DHALEINE;;;


La prochaine génération - la passion continue

Nous craignons que les jeunes ne soient plus intéressés par l'histoire de l'automobile ou des voitures plus anciennes. Mais nous venons de trouver des preuves convaincantes que la passion est vivante et en mauvaise santé dans la prochaine génération.

Votre webmaster a rencontré Thomas Dhaleine très récemment. Thomas est français et vit et travaille en France - mais sa passion n'est pas pour les voitures françaises. En effet, en 2008, à peine âgé de 18 ans et en pensant à sa première voiture, il ne voulait surtout pas acheter ce que tous ses amis achetaient: la évidente Peugeot 205 ou 206, ou encore la Renault Clio.

Au lieu de cela, il trouva un NSU Prinz 4 de 1968 à Chantilly. Juste ce qu'il voulait - quelque chose de différent. Il l'a acheté, mais a ensuite échoué à son test. Ainsi, le pauvre petit NSU a été envoyé dans son garage. Bien qu’il ait vite passé, il est resté là pendant un an et demi jusqu’à ce qu’il finisse par prendre le volant.

Mais alors le bug bel et bien mordu. En 2011, Thomas s'est rendu à Tours pour acheter des pièces de rechange Prinz. Le vendeur a justement mentionné qu’il y avait une voiture également - mais elle ne savait pas que la voiture correspondait aux pièces de rechange. C'était un début de Prinz 4 de 1962 - et est devenu la NSU numéro 2 de Thomas. Il a attaché une nouvelle batterie et la voiture a démarré après 15 ans de sommeil. Et une semaine plus tard, par le courrier du vendeur, tous les papiers de la voiture, plus la clé de secours, sont arrivés.

Thomas a ensuite acquis la NSU numéro 3 - une Prinz 4L de 1967, avec seulement 13 000 km au compteur et, nous assure-t-il, "comme neuve".

Il ne s'est pas arrêté là. Pour son 26 e anniversaire, il s'est offert le NSU numéro 4 - un «parcours» de 1 200 1969, connu du club français NSU et souvent vainqueur de la course.

Enfin, Thomas a découvert, il y a deux mois à peine, un 1000C totalement vierge et original dans un parking souterrain à Dijon. Très peu d'entre eux survivent car, mis à part les lampes frontales, ils semblent identiques au 1200TT tant convoité, et sont donc souvent convertis en répliques.

Suivant les modèles NSU Prinz originaux I, II et III construits entre 1958 et 1962, la NSU Prinz 4 était une voiture très remaniée et modernisée - et une star du salon de l’automobile de Francfort de 1961. Comme le Prinz d'origine, il était propulsé par un moteur en ligne à deux cylindres refroidi à l'air. Le moteur de 598 cm3 à cames en tête a hérité de l’entraînement par arbre à cames excentrique des moteurs de motocyclette NSU et il était doté d’un dynastart (démarreur / générateur combiné) intégré dans le carter. En 1963, le 1000C légèrement plus grand, toujours refroidi à l'air mais maintenant avec 4 cylindres et 996cc. Cela s'est développé dans le 1000TT et plus tard dans le 1200TT.

Les voitures de Thomas représentent donc une collection remarquable qui raconte le développement d'une importante voiture sportive allemande de grande qualité, qui a survécu jusqu'en 1972, année où l'Audi 50 à traction avant lui a succédé. VW Polo.

Nous sommes très reconnaissants à Thomas pour sa permission de publier ces photos de ses voitures. Son explication enthousiaste de l'histoire de la NSU Prinz 4 nous montre que l'avenir de l'histoire de l'automobile pourrait se concentrer sur différentes périodes - mais il est toujours entre de bonnes mains.